Le Burkina Faso a sa plateforme de promotion de la sculpture. La première édition de la Biennale internationale de sculpture de Ouagadougou a ouvert ses portes le 8 novembre dans la capitale Burkinabè. Une exposition se tient à l’Institut français de Ouagadougou et reste ouverte au public jusqu’au 15 novembre.
Cette exposition rassemble une vingtaine de créateurs venus de toute l’Afrique. Ce sont : Precy Numbi (RDC), qui a réalisé la performance au vernissage d’ouverture, Zoungrana Vincent de paul (Burkina Faso) ; Ballo Mamadou (Côte d’Ivoire) ; Bonjisi Witness (Zimbabwe); Diarra Thiemoko (Belgique – Mali) ; Diero Issouf (Burkina Faso) ; Disundi Beau (RDC); Zouari Férielle (Tunisie); Fagbohoun Dimitri (Bénin); Mbuyi Tickson (RDC) ; Savadogo Issiaka (Burkina Faso) ; Tugbiyele Adejoke (Etats-Unis – Afrique du Sud) ; Waswad – Waswa Donald Augustine dit Waswad (Ouganda) ; Xenson – Samson Ssenkaaba dit ‘Xenson’ (Ouganda) et Zoubir Amina (France– Algérie).
Lancé par Nyaba Léon Ouédraogo et Christophe Person, la Biso est à sa première édition. Elle vise à mettre en lumière les créations sculpturales du continent en vue de leur donner de la valeur sur les marchés d’art contemporains internationaux. Le thème de l’édition 2019 est : « Oser et inventer l’avenir ».
La rédaction