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    Home»Cinéma»Habib Mestiri, réalisateur tunisien : « Il y a beaucoup de complaisance dans le palmarès des JCC»
    Cinéma

    Habib Mestiri, réalisateur tunisien : « Il y a beaucoup de complaisance dans le palmarès des JCC»

    WebmasterBy Webmasternovembre 26, 2019Aucun commentaire2 Mins Read
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    En réaction à chaud après la proclamation du palmarès des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), le réalisation tunisien, Habib Mestiri a estimé, au micro de www.farafinaculture.com, que de tels résultats ne sont pas bon pour l’avenir du cinéma africains.

    Que pensez-vous du palmarès des JCC 2019?

    Il y a beaucoup de complaisance dans ce palmarès. Il ne reflète pas la cinématographie réelle africaine. C’est juste des films qui ont eu beaucoup de visibilité dans des festivals internationaux et c’est dommage.

     C’est un film tunisien qui succède à un autre film tunisien. Est-ce le réveil du cinéma tunisien ?

    Pour moi, c’est un gâchis de ne pas faire valoir la cinématographie africaine dans sa diversité. De toute façon, ce qu’on fait en Tunisie est diversifié, mais il y a aussi de très bons films qui se font partout en Afrique. Le fait de garder le Tanit d’or en Tunisie n’est pas bon signe à mon avis.

    Que reprochez-vous aux films primés et sélectionnés ?

    Ce festival, normalement, est pour le cinéma indépendant. Il y a une tendance à ce que le cinéma fait avec beaucoup de moyens, domine.  Et ça va tuer le cinéma indépendant en Afrique.

    Que souhaitez-vous qu’on fasse ?

    Ce que je dis est le constat d’un échec. On n’arrive pas à offrir aux cinéastes indépendants les moyens de  faire leurs films. Les JCC doivent être une plateforme pour dénoncer cette situation. Parce que, le système français, quand il finance un film, il est ficelé pour récupérer les dépenses faites, à travers les achats des télévisions, les distributions, etc. Un jeune cinéaste africain qui n’entre pas dans ce circuit, n’a pas les mêmes chances que les autres. De ce côté, il y a un déséquilibre.

    Réalisée par Sanou A. à Tunis

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